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Jean-Jacques Martial fait partie de ces enfants qui ont été arrachés à leur île et déplacés vers la Métropole.
En revendiquant son nom qui lui avait été confisqué, en portant plainte contre l'État pour déportation, Jean-Jacques Martial a mis fin au silence qui entourait ce scandale.
De nombreux journaux ont abondamment suivi ce dossier.
Voici une sélection d'articles qui vous permettront de découvrir cette affaire.
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" À la Réunion, sur les traces de son enfance volée. Jean-Jacques Barbey a fait partie des centaines de petits Réunionnais amenés de force en métropole."
( VSD, 6-12 septembre 2001)
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" Les enfants
déportés de la Réunion. Dans les années soixante plus de 1000 "pupilles" de l'île ont été transférés en métropole. "VSD", qui a dévoilé l'affaire il y a un an, exhume des archives inédites. Révélations sur ces convois initiés par Michel Debré."
( VSD, 1-7 août 2002)
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" Enfants
créoles perdus dans la Creuse. En 1966, 300 Réunionnais
ont été arrachés à leur île pour repeupler
la région."
( Libération, mercredi 4 juillet 2001)
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" 35 ans après, il retrouve sa famille à Saint-André.
"Déporté" vers la Creuse en 1966 à l'âge
de 6 ans, Jean-Jacques Barbey vient de retrouver, 35 ans après
ce qu'il appelle un "kidnapping", sa famille biologique à
Saint-André. Aujourd'hui, il attaque l'Etat, à qui il demande
réparation pour cette "déportation", ainsi que
la restitution de son nom de sang : Martial."
( Le Journal de l'Ile, samedi 7 juillet 2001)
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" La Réunion : l'orphelin malgré lui réclame
1 milliard d'euros à l'Etat. Jean-Jacques Barbey avant été
arraché à sa famille pour être adopté dans
la Creuse."
( Le Figaro, vendredi 8 février 2002)
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" Ils ont brisé ma vie. Séparé
des siens et envoyé, comme 1000 enfants de la Réunion, repeupler
la Creuse, Jean-Jacques Barbey se bat pour être indémnisé
par l'Etat."
( FranceSoir, vendredi 8 février 2002)
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" Les enfants
volés de la Réunion. Quarante ans plus tard, le scandale
éclate. Plus de mille enfants issus de millieux pauvres ont été
enlevés illégalement à leurs parents et ont servi
d'esclaves à des paysans français. Aujourd'hui adultes,
colère et espoir mêlés, ils veulent renouer les fils
de leur destin."
( Le Nouvel Observateur, 6-12 juin 2002)
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